29 septembre San Quirico d’Orcia

Il fait 11 degrés lorsque je me met en route. Depuis quelques jours, je supporte la polaire les premiers kilomètres.

Mais dès les premières montées, elle retourne dans le sac.

Je retrouve des vignes et des oliviers, ainsi que ces blanches steratas où les voitures soulèvent tant de poussière.

Cette impressionnante grange fortifiée est maintenant un domaine viticole. L’odeur de fermentation ne trompe pas.

Les panneaux wine tasting se suivent sur le chemin. Il faut dire que la ville au sommet de la colline à l’arrière-plan est Montalcino. Son Brunello est une des fiertés de la Toscane.

Un cas flagrant de dopage au Sangiovese!

La via continue par de superbes paysages ouverts.

Torre Nieri me permet de refaire le plein (d’eau) et de me reposer un peu à l’ombre.

Œuvre intitulée omaggio al pellegrino. Deux pieds dépassant d’un sac ?

Les paysages se ressemblent ? Oui, mais quelle harmonie !

Les engins agricoles d’ici m’impressionnent toujours. Avec leurs chenilles, elles ont des airs guerriers.

Et voici déjà San Quirico d’Orcia qui me tend les bras.

Partout, dans la ville et en expo au musée, des personnages masqués d’Emanuele Giannelli.

22