Le soleil es, décidément, de plus en plus lève-tard. Il fini par éclairer le pays dacquois, alors que moi je me trouve déjà sur les boulevards très circulant des faubourgs. 
Heureusement, je trouve le chemin pour sortir de cette agitation et déambuler entre les lacs.
Écoutez bien cette photo, et vous entendrez plein de coassement.
Bien que techniquement, je suis toujours dans le département des Landes, pour mon plus grand plaisir, le décor et tout à fait différent de celui des derniers jours. 
Maintenant, je dois réapprendre à négocier des tournants des montées et des descentes. Plus de résineux mais des feuillus. Fini de marcher dans le sable. Et vive la chorale des oiseaux. 
L’abbaye de Cagnotte a été fort abîmée depuis le Moyen Âge. Il faut rentrer à l’intérieur de l’église pour retrouver des murs de cette époque. Les différents bancs sont décoré de coquilles Saint-Jacques.
J’avoue, j’ai une tendresse pour cet antique tracteur, vieux compagnon de travail, si souvent réparé, et dont on n’ arrive pas à se séparer.
Jusqu’à Peyrehorade, je vais suivre l’ancien trajet du tramway qui a parcouru la région entre 1914 et 1937. Si il y a peu de dénivelé, le chemin il y est aussi peu entretenu. 
Il faut zigzaguer entre les zones boueuse, défoncées par le motocross, ou grimper au dessus d’arbres sont tombés en travers.
Mais ce ne sont pas ces obstacles qui vont m’empêcher d’arriver au bord des Gaves Réunis.
Le château de Peyrehorade qui en est devenu la mairie.
Après, il me faudra passer un moment un peu plus difficile sur une départementale que je dois partager avec pas mal de camions et de voitures. 
Je traverse le Gave de Pau et je continue à remonter, de loin, le Gave d’Oloron. Je comprends pourquoi ont appelle la région « La vallée du kiwi ». 
Avec joie, je prend un petit sentier à droite de la grand route. 
Il me fait passer sous l’Espitaou, l’ancien hôpital qui accueillait les pauvres, les malades et les pèlerins. Il est situé juste à l’entrée l’Abbaye de Sorde. 
Celles-ci a deux particularités remarquables
D’abord ce qui est appelé le « crypto-portique », un système permettant de connecter l’abbaye avec la rivière pour y accueillir et stocker de la marchandise dans un ensemble de caves enterrées sous une large plateforme. 
Et de magnifiques mosaïques datant du XII ième dans le chœur de l’église. 
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